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| Image le parisien |
1.Taxe foncière sur les terrains non bâtis
Quelques 800 à 1000 agriculteurs jeudi à Nice contre la hausse de la taxe foncière sur les terrains non bâtis, taxe qui devrait obligé beaucoup d’agriculteurs en périphérie des villes à vendre leur terrain compte tenu du montant exorbitant de la hausse :
Un éleveur de faisans propriétaire de quatre hectares dans la commune de Roquefort-les-Pins (arrière-pays niçois) s'acquitte actuellement de 1.200 euros de taxes foncières. La majoration l'obligerait par exemple à payer 140.000 euros en 2014 et en 2015, puis 280.000 euros en 2016, ont calculé des fiscalistes.
Un exploitant de seulement 2.000 m² dans la commune de La Gaude verrait sa taxe passer de 400 euros à 12.000 euros.(source lafranceagricole.fr).
Heureusement, le gouvernement fait une fois de plus marche arrière en proposant d’exonérer les agriculteurs de cette « surtaxe ».
2. Le conseil général met les freins aux dépenses publiques suite à la baisse des droits de mutation : En 2013, les droits de mutation (calculés sur 10 mois) calculé sur les ventes immobilières ont chutés à 238 millions et se retrouvent à – 50 millions d’euros soit -17% environ. C’est certes moins qu’en 2009, ou l’on avait perdu 110 millions d’euros mais le conseil général attend une reprise de l’immobilier pour pouvoir réaliser des travaux public.
3. Les prix baissent et les délais s’allongent.
Selon un article du 23 octobre de l’express, les prix de l’immobilier dans les alpes-maritimes aurait baissé de 1.6%.
D’après le PAP, les délais de vente ont augmentés passant à 8 semaines en octobre pour un appartement et à 11 semaines pour des maisons.
Mais la reprise est annoncée pour 2014 !
